Feat. : Kim Min Seok (Xiumin - Exo)
Âge : 29 ans
Statut civil : Célibataire
Classe sociale : Moyenne
Occupation : Videur au Once Upon a Blue Moon la nuit et chasseur... la nuit aussi, en règle générale ! Il arrondit ses fins de mois avec des courses de moto. Il vit beaucoup de nuit.
Taille et poids : 1m73 + 68kg
Messages : 21
RPs : 16
Pseudo : Aries
Autres comptes : Xiao Hua Feng + Han Lawrence + Rosenbach Haruya + Mangjeol Nam Il
| Ven 15 Mai - 7:07 Ryeo Adrian Nom : Ryeo. Il espère un jour pouvoir donner une seconde chance à ce nom de famille qui, pour le moment, n'a pas connu de très bons hommes. Prénom : Il est né Nam Seok. Mais en déménageant aux États-Unis, il a fait comme la plupart des Asiatiques et a pris un prénom américain, soit Adrian. En revenant en Corée, il a conservé ce prénom. Âge physique : 29 ans depuis quelques mois seulement. Il approche toutefois de la trentaine avec confiance ! Âge réel : // Date de naissance : Un certain 6 novembre. En tout cas, c'est ce qui est écrit sur son certificat de naissance. Nationalité : Coréenne. Il n'a jamais pu se résoudre à abandonner sa nationalité coréenne pour l'américaine, la double nationalité n'étant pas permise en Corée. Origines : Coréennes, mais son attitude a beaucoup pris de ses années passées à Los Angeles. Sexualité : Hétérosexuel. Il ne s'est jamais vraiment posé la question et ne se la posera probablement jamais. Métier : Videur au Once in a Blue Moon la nuit et chasseur... la nuit aussi, en règle générale ! Il arrondit ses fins de mois avec des courses de motos. Il vit beaucoup de nuit, disons ! Situation maritale : Célibataire et un peu volage, mais jamais pour briser des coeurs. Classe sociale : Moyenne. Il est payé correctement, mais ne roule pas sur l'or non plus. S'injecte de la Crysalis ? Généralement non, c'est trop cher. Mais il en a toujours dans ses poches, histoire de palier au plus urgent si nécessaire pendant une de ses chasses. Groupe : Chasseurs Avatar : Kim Min Seok (Xiumin - Exo) Participer aux mini-events ? Oui ! | Caractère Adrian a du caractère pour dix. Il est assez taciturne et ne parle généralement pas pour rien dire, mais s’il trouve une bonne raison de se mettre en colère, il n’hésitera pas à invectiver le principal concerné ou à sortir les poings s’il juge que l’homme devant lui peut en prendre. Jamais une femme, parce qu’il fait partie de ces hommes qui ne frappent pas les femmes par principe, même que ce soit selon certains galant ou misogyne ! D’ailleurs, inutile de côtoyer Adrian très longtemps pour comprendre qu’il se fiche royalement de l’avis des gens et, tout particulièrement, de la société en général. Il n’y a que quand on dit de lui qu’il est mignon ou adorable qu’il pète un plomb. Il sait qu’il peut avoir l’air moins imposant qu’il ne sait l’être véritablement, surtout quand il sourit à belles dents. Raison pour laquelle il ne sourit pas autant qu’il le pourrait d’ailleurs. Néanmoins, ce n’est pas une invitation à lui pincer les joues en lui disant qu’il est ô combien mignon ! Mauvais, très mauvais plan…!
Il aime l’adrénaline, ce qui est probablement bon pour un chasseur… mais qui le fait souvent flirter avec la témérité, ce qui est moins bon ! Il a du courage à revendre, mais fonce aussi tête baissée dans des entreprises trop risquées parfois. Ce qui ne l’empêche pas d’avoir assez de jugeotte pour se retenir si vraiment c’est perdu d’avance. C’est néanmoins cette soif d’adrénaline qui en fait un des meilleurs coureurs de Séoul, courses de motos qui sont tout à fait illégales mais rien à foutre. Ça arrondit très bien les fins de mois ! Il est brut de décoffrage, quelque chose qu’il a appris à Los Angeles et qui l’a suivi lorsqu’il est revenu à Séoul. Ça choque et il s’en moque. Au moins, on sait généralement ce qu’il pense. Enfin, quand il daigne ouvrir la bouche, parce que jouer les mystérieux, c’est aussi tout un pan de son personnage.
Il aime rouler des mécaniques devant les belles demoiselles et même devant les hommes histoire de montrer qui est le roi de la jungle ! Il fera pétarader sa moto, bousculera un connard deux fois plus grand que lui ou fera la cour ouvertement à une belle si ça lui plaît. Mais au-delà de ça, c’est quelqu’un qui, bien qu’il ne se lie pas souvent, est très fidèle lorsqu’il le fait. Son côté protecteur n’est pas à être confondre avec de la possessivité. Il est certes un peu jaloux, même si souvent trop sûr de lui pour vraiment s’en faire dans ses relations. Mais jamais possessif. Protecteur par contre, ça oui… et il a donné plus d’un coup de poing pour défendre quelqu’un cher à son cœur. Il sait respecter ceux qui ont du respect pour lui par contre, même dans l’adversité. Il ne faut simplement pas le prendre pour une poire… il n’en est pas une et se fera un plaisir de le rappeler. Au pire, la poire est armée, alors…!
Ce n’est pas un intellectuel, mais il est intelligent. C’est une intelligence qui n’est pas vraiment mise de l’avant par l’école, raison pour laquelle il ne possède aucun diplôme si ce n’est celui du primaire… Fait très mal vu dans cette société d’élitistes. Alors le job de videur, il n’a pas craché dessus quand elle s’est présentée. Débrouillard, il trouvera de toute façon toujours un moyen de s’en tirer à la fin du mois. Néanmoins, entre le job de videur au Once in a Blue Moon et les courses qu’il remporte souvent, ses fins de mois ne sont pas difficiles. Il vit confortablement, même s’il est loin d’être riche.
Quant à la chasse, il la considère avec un certain respect et ne tue jamais sans raison. Son but, ce n’est pas d’annihiler les créatures de la nuit. C’est de buter celles qui tuent. Il a même déjà pris des contrats pour des vampires… Tant que leurs intentions sont un minimum bonnes, il s’en fout. Ça paie.
| Anecdotes un. Adrian célèbre son anniversaire le 8 novembre, même s'il est né le 6 novembre. Son frère jumeau de coeur est né le 10 novembre. Du coup, ils le célèbrent généralement ensemble à cette date entre les deux. Parfois quand il doit donner sa date de naissance, ça lui prend quelques secondes pour ne pas sortir spontanément qu'il est né le 8 !
deux. Il possède une moto. Une belle Yamaha FZ-10 qui est restée quelques mois chez une amie à Los Angeles avant qu'il ne réussisse à la faire venir jusqu'en Corée, ce qui lui a coûté un bras mais qu'il ne regrette pas ! C'est son bébé et quiconque la touche est mieux d'avoir eu son autorisation avant les faits ! D'ailleurs, il s'y connait suffisamment en mécanique pour la chouchouter lui-même. Elle est noir mat. L'intérieur des jantes est rouge sang. Il ne passe jamais inaperçu quand il est dessus !
trois. Il a déjà cassé trois doigts à un type qui le narguait en lui disant qu'il était mignon et adorable. Il n'est pas mignon et encore moins adorable. Il n'y a aucun statut au monde qui vous permet de lui faire cet affront et d'en ressortir indemne. Aucun !
quatre. Il fume beaucoup, beaucoup, beaucoup trop. Il doit être à près de deux paquets par jour. Ça rend sa voix rauque. Le matin, elle est un peu cassée. Il n'aime pas trop entendre ce que ça fait à ses poumons...! Il faudrait sûrement qu'il baisse sa consommation...
cinq. Il a tendance à l'embonpoint, ce qui paraît tout particulièrement sur ses photos d'enfant et d'adolescent. Mais, depuis son déménagement à Los Angeles, il s'est pris de passion pour la boxe et en fait maintenant plusieurs fois par semaine. Ça lui permet non seulement d'avoir une bonne technique de combat de rue, mais aussi de garder une bonne musculature qui ne se devine pas trop sous ses vêtements, mais est plus qu'appréciable quand il laisse tomber la chemise !
six. Adrian sait qu'il n'a pas l'avantage du gabarit en plus de ne pas avoir celui de la race quand vient le temps de combattre les créatures de la nuit. Aussi utilise-t-il un glock muni d'un silencieux pour leur transpercer le coeur. Pour le combat rapproché, en plus de la boxe, il a toujours sur lui un couteau de chasse qu'il peut aussi lancer avec très grande précision. Il s'entraîne autant au tir à l'arme à feu qu'au lancer de couteau et même parfois de hache. Il sait viser et il peut rapidement être létal pour peu qu'on lui laisse un bon angle...
sept. S'il parle couramment anglais en plus de son coréen maternel, Adrian n'est néanmoins pas très doué avec les langues et n'a réussi à maîtriser l'anglais que parce qu'il était en immersion complète et que la langue en question est facile à apprendre. Il ne faut donc pas commencer à lui demander d'apprendre du chinois ou de l'italien. Il va faire une grimace avant de passer au prochain sujet ! Il faut dire que les études n'ont jamais été son fort...
huit. Il a look un peu décalé qui rappelle bien celui du badboy classique. Jeans noirs craqués, veste en cuirs, Dr. Martens aux pieds, gants sans doigts quand il conduit sa moto, quelques bagues épaisses et masculines... On peut voir quelques tatouages sortir de ses vêtements, aussi. Il a souvent les cheveux en pétard et son regard en amande très particulière est généralement souligné de khôl pour l'accentuer et lui donner un petit air plus mystérieux ! Il cultive le look et il l'assume.
neuf. S'il collectionne les relations éphémères, il ne brise jamais de coeurs. Adrian est toujours très clair : il s'agit d'un coup d'un soir. Si ça leur tente à tous les deux, il remettra le couvert, mais c'est plutôt rare. Il joue sans règles, si ce n'est celles que sa partenaire et lui mettent à l'avance. Quand il fait l'amour à une belle demoiselle, ça ne regarde pas les bien-pensants de leur société tordue ! Il est prudent, c'est l'important.
dix. Il ne comprend pas l'attrait des jeux vidéos. Il préfère la "vraie vie". Il l'a répété des tonnes de fois à son frère de coeur, mais ce dernier est plutôt tout le contraire... et Adrian l'accepte quand même bien, capable de vivre et laisser vivre. C'est d'ailleurs probablement son adage favori !
onze. Il a un gros penchant pour l'alcool. Il aime en boire et il en boit généralement une bonne dose quand il s'y met. Toutefois, il n'est pas alcoolique et peut très bien s'en passer. Ce qui est une bonne chose. Il aimerait éviter de devenir comme ses parents... | Histoire Nam Seok est de ces enfants abandonnés par leurs parents, puis par le système, qui ont toujours traîné une rage qui n’attend qu’une bonne occasion pour exploser. Cette rage s’amoindrit en vieillissant. Mais, gamin, il ne peut s’empêcher d’être en colère contre les mains de ses parents, qui se lèvent et s’abattent trop fort et trop vite sur son petit visage. La déscolarisation fréquente qui invite les questions jamais assez appuyées des services sociaux. Le minable appartement toujours sale qui sent l’alcool à plein nez. Bien sûr, il a quelques bons souvenirs, épars mais bel et bien présents. La façon dont son père secouait ses cheveux quand il était fier de lui. Sa mère qui soignait une blessure au genou après qu’il soit tombé, bien que ce soit souvent après une bousculade de son père. Le chien qu’il a eu pendant plusieurs années et qui était son plus fidèle compagnon, aussi. Parce qu’à cette époque, le petit Nam Seok était très solitaire. En même temps, vu son sale caractère et sa propension à jouer les brutes dans la cour d’école, c’était tout sauf la faute des autres enfants.
Il ne sait pas ce qui est advenu de ses parents. Il ne pense pas qu’ils soient morts. Mais un jour, les services sociaux s’en mêlent solidement. Il le doit à une travailleuse sociale particulièrement zélée qui avait vraiment le bien des enfants à cœur et qui a peut-être un brin outrepassé ses droits pour faire entendre sa cause. Mais ce qui venait d’un bon cœur n’était pas nécessairement adapté à Adrian. Il va d’abord dans une famille d’accueil. Là-bas, le petit bout de huit ans qu’il est joue au petit démon. Un vrai petit monstre impossible à tenir, voire un peu dangereux pour les autres enfants. Une autre famille… même scénario, même si ceux-ci assuraient être prêts. Ce n’était pas vraiment de leur faute. Ou peut-être que si. Parce que leurs façons de disciplinées n’étaient pas vraiment mieux que le comportement de Nam Seok. Finalement, exit les familles et bonjour le foyer. Là-bas, on le laisse assez tranquille, étonnamment… et ça fait le travail. Nam Soek n’est pas un ange, mais il n’est plus aussi intenable qu’avant. Et surtout, il trouve Hyo Jin.
C’est un gamin un peu bizarre, du même âge que lui et qui était arrivé environ huit mois après lui. Il ne parlait pas, mais c’était presque reposant pour Nam Seok, en fait. Ils passent de longs moments ensemble, souvent silencieux. Mais parfois, il y a des mots sans intérêt du côté de Nam Seok. Et finalement, quelques confidences. Il se moque encore gentiment du fait que quand il a entendu Hyo Jin parler pour la première fois, il était terrorisé à l’idée qu’il déballe tout ce qu’il lui avait dit et espérait qu’il redevienne muet ! Finalement, ses secrets sont à l’abris et même s’il devient moins expansif, il est plutôt heureux de cette nouvelle relation qui se tisse petit à petit entre eux. Quand ils sont ensemble, ils réinventent le monde. C’est probablement grâce à ce petit penchant qu’ils finissent par déposer leurs miches sous le chaud soleil de Los Angeles alors qu’ils n’ont que seize ans et sont fraîchement émancipés !
Là-bas, Min Seok se redécouvre. Il abandonne son prénom coréen pour s’appeler Adrian. C’est plus simple pour l’administration et les relations sociales. Il découvre qu’il n’a plus envie de subir la pression académique. Qu’il est passionné de mécanique et plus précisément de moto. Qu’il peut gagner sa vie sans avoir un diplôme en mains. Qu’il aime vivre avec Hyo Jin dans leur petit mode de vie bohème, malgré leurs différences. Il découvre aussi que le « problème vampirique » le travaille plus qu’il n’aurait cru. Il se rapproche d’un petit groupe de chasseurs grâce auxquels il doit ses bases dans le domaine. Le début des entraînements, que ce soit la boxe ou le tir à l’arme. Les rings de rue, aussi. Il revient parfois à l’appartement la tronche un peu pétée, mais la mine ravie ! Puis, ses premières chasses… L’adrénaline.
Le retour à Séoul, c’est un peu comme un atterrissage pas très doux. Mais c’est volontaire de sa part aussi. Et c’est toujours accompagné de Hyo Jin, alors ça va. Cette fois, ils prennent chacun leur nid, dans le même bloc toutefois. Et doucement, il recommence à s’établir à Séoul. Se fait un nom dans les courses illégales. Dans le milieu de la chasse, aussi… Celui de la nuit en général, quoi.
| Aries |
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