Feat. : Choi Jun Hong (Zelo)
Âge : 23 ans
Statut civil : Célibataire
Classe sociale : Pauvre
Occupation : Guerrier dans les rangs de l'Ordre à temps plein
Taille et poids : 1m90 + 79kg
Messages : 92
RPs : 5
Pseudo : Aries
Autres comptes : Xiao Hua Feng + Han Lawrence + Ryeo Adrian + Mangjeol Nam Il
| Jeu 3 Sep - 1:10 Rosenbach Haruya Nom : Rosenbach. Étonnamment, sa famille très traditionaliste en est fort fier. Mais il s'agit d'un nom bien connu en Allemagne au sein de l'Ordre, alors forcément... Le grand-père paternel étant Allemand, il en a donc hérité. Prénom : Haruya (陽矢), écrit avec les kanji "soleil" et "flèche". Âge physique : 23 ans. Âge réel : 23 ans aussi ! Et qu'on le préserve d'être un jour transformé ! Date de naissance : Il est né un 24 février. Nationalité : Japonaise. Origines : Japonaises. Il a un grand-père Allemand, mais c'est sa soeur qui a tout pris, niveau métissage... sauf peut-être la grande taille. Ça, elle lui a laissé ! Sexualité : Bisexuel entièrement assumé. Métier : Chasseur pour l'Ordre de la Sphère Céleste. Il est sous les ordres de Jang Ahn Jae. Situation maritale : Célibataire. Il ne s'est pas encore remis de sa dernière relation amoureuse même s'il fait genre, par fierté ! Classe sociale : Pauvre. Les chasses ne rapportent pas grand-chose, voire rien... Il doit donc trouver des petits jobs çà et là mais jamais rien de sérieux, parce que la chasse lui demande trop de temps. C'est un cercle vicieux, quoi. S'injecte de la Crysalis ? Oui, mais uniquement avant une grosse chasse ou quand il se sent en danger. Il ne fait jamais d'extra. Groupe : Ordre de la Sphère Céleste Avatar : Choi Jun Hong (Zelo - ex BAP) Participer aux mini-events ? Oui. | Caractère Haruya, c’est une âme rebelle qui s’assume entièrement. Émancipé du contrôle parental étouffant qu’il a subi trop longtemps, il est un électron libre qui semble ne jamais être à bout d’expériences nouvelles à savourer. Il n’accepte plus qu’on lui donne des ordres, qu’on veuille le contrôler. S’il est fondamentalement bon, il peut néanmoins vite grogner au nom de la liberté… et être lui-même un brin contrôlant dans certains aspects de sa vie, notamment dans l’intimité d’une chambre à coucher. Il ne fait aucune concession, mais prend garde à trouver ceux qui veulent bien de ce caractère trop grand même pour lui. Pourtant, il a encore tant à apprendre et peut parfois frôler l’immaturité, sans pour autant la saisir à deux mains. Parce que Haruya a grandi ces dernières années. On ne peut rester un éternel enfant quand on combat le mal, au cœur de la nuit grondante des grandes villes asiatiques.
Son adhésion aux valeurs de l’Ordre est faite, mais parfois un peu chancelante sans qu’il ne soit assez engagé pour avoir envie de remettre tout en doute. Il est plutôt du genre à suivre une personne, quoi qu’il en coûte et cette personne est déjà toute trouvée puisqu’il s’agit de son chef de battues. Quand il donne sa fidélité, c’est à vie. Il pourrait mettre sa vie en danger pour ceux qui comptent pour lui. Il faut dire que Haruya a quelques tendances à la témérité, aussi ! Il aime l’adrénaline. Il n’y a pas plus agréable sensation que de la sentir qui parcourt ses veines. Raison pour laquelle il n’a jamais été question d’une autre position au sein de l’Ordre que celle de chasseur. Cette tâche, il l’accomplit avec détermination et fougue, des attitudes qu’il semble traîner avec lui dans tous les aspects de sa vie.
On lui reproche parfois de brûler la chandelle par les deux bouts. C’est de son âge, prétendent certains. Ceux qui le connaissent vraiment savent que c’est plutôt une attitude qui lui colle un peu trop à la peau et qu’il risque un jour de se brûler les doigts. Il semble tantôt pressé, tantôt trop décontracté et apparemment jamais dans les bons moments. Mais c’est qu’Haruya déteste qu’on lui dise comment il devrait agir ou réagir et prendra soin à faire l’exact opposé de ce qu’on attend de lui s’il juge la demande trop insistante. Il déteste qu’on lui parle de son nom de famille, qui a une grande notoriété au sein des Ordres européens. Oui, c’est ce Rosenbach là. Qui est-ce que ça intéresse vraiment ? Sûrement pas lui, qui veut se faire son propre nom. La seule raison pour laquelle il n’a pas renié le siens, c’est parce que sa sœur le porte encore et qu’on lui a déjà demandé d’abandonner trop de choses contre son gré pour qu’il lui demande d’en faire autant avec leur nom de famille. Et pas question d’en porter un autre qu’elle. Quand on dit qu’il est fidèle…
| Anecdotes un. Il est plutôt fier de son apparence physique. Il porte souvent des fringues trouées ou grunge, mais c’est toujours soigneusement étudié. Il est généralement décoloré, les cheveux un peu en pétard.
deux. Sa grande activité physique l’a, au fil des ans, taillé. Sa peau cuivrée s’étire sur des muscles saillants, mais il n’est pas de ces hommes qu’on sait musclés au premier coup d’œil. Toutefois, ses épaules larges pourraient attirer quelques regards plus intéressés.
trois. Haruya mesure 1m90 et il en est très fier ! Du coup, il s’amusera peut-être à tacler quelques hommes dans la moyenne ou un peu en dessous de celle-ci et ce, sans vergogne. Le seul avec lequel il n’oserait pas jouer à ça, c’est Ahn Jae. Son mentor a son respect le plus total !
quatre. Le japonais est sa langue maternelle et l’allemand suit pas très loin derrière. Il s’exprime confortablement en coréen, étant au pays depuis quelques années, mais a encore parfois quelques petites surprises. Il n’a toutefois jamais honte de ne pas connaître cette langue à 100% et d’hésiter sur certains termes. Il se trouve plutôt bon de l’avoir appris, donc qu’on ne vienne pas l’emmerder avec ça ! Il baragouine l’anglais, aussi. Mais ça l’emmerde solide, ça.
cinq. Il possède quelques tatouages çà et là, qui ont tous une petite signification pour lui mais dont il taira le sens si on lui demande, parce que ça ne regarde personne. Il aime bien passer sous l’aiguille de son tatoueur. C’est un peu thérapeutique. Et le résultat est trop cool !
six. Il a une cicatrice sur une de ses omoplates. Elle fait presque dix centimètres de longueur et on voit encore que la blessure était assez profonde. Cette journée-là, il ne voulait pas s’entraîner. À treize ans, on aime parfois plutôt aller faire du skate avec ses copains que de passer toute la journée dans le dojo avec son grand-père. Parce qu’il ne collaborait pas, grand-père a décidé de sortir de vraies armes.
sept. Haruya fait d’ailleurs encore du skate. Il se déplace parfois exclusivement comme ça, bien qu’il ait le permis (mais pas de voiture, ça coûte un bras !). Il est souvent un peu trop téméraire et a de nouvelles blessures de guerre à peu près à tous les mois. Il laisse croire que ce sont des blessures de chasse quand il passe au QG de l’Ordre, mais bon…
huit. Il n’a pas de préjugés particuliers contre les vampires. Il occis juste les mauvais vampires ! Pas tous ceux qui croisent son chemin ! Alors non, il ne va pas détester quelqu’un juste parce qu’il se trouve que c’est une créature de la nuit. Il a même déjà connu un vampire bibliquement, alors…!
neuf. Haruya est ouvert d’esprit. C’est peut-être parce qu’il s’est rebellé à un tel point contre sa famille ultra traditionnaliste qu’il a décidé d’accepter les gens comme ils viennent ! Mais sa découverte de sa bisexualité a eu lieu un peu avant qu’il quitte le Japon. Une drôle d’histoire…
dix. Haruya possède peut-être une longue silhouette longiligne… mais c’est à se demander comment il fait parce qu’il s’empiffre constamment ! C’est un gouffre sans fond qui adooore la malbouffe. Par contre, le sucre, pas trop. Il est plus salé… et trucs bien gras, surtout !
onze. Haruya a hérité, à l'adolescence, d'une voix bien mesurée et stable dès le milieu de l'adolescence. Il est capable de la recouvrir de velours tout en la gardant très masculine. Ces dernières années, elle s'est approfondie davantage. Bref, c'est un instrument qu'il peut utiliser à volonté. Pas pour chanter nécessairement... ce pour quoi il n'a aucun intérêt. Mais pour séduire ! Il y glisse facilement une bonne couche de sensualité sur demande !
douze. Pour se battre, Haruya utilise le katana. Il ne l'a pas choisi. Tous les hommes de sa famille se battent avec cette arme, à laquelle il a été initié dès son plus jeune âge. C'est un des quelques rares héritages qu'il a gardé de l'Ordre au sein duquel il a grandi. Son style de combat avec son sabre possède d'ailleurs quelques couleurs propres aux hommes de ce clan, reconnaissable par les connaisseurs. Il porte aussi toujours un wakizashi à la taille quand il est en chasse, qu'il peut autant utiliser en derniers recours, comme il se doit, ou même en combattant à deux mains, son sabre dans l'une et le wakizashi dans l'autre.
| Histoire Parfois, quand il a un peu de temps pour penser, souvent juste avant de s’endormir, Haruya se demande ce qu’il ferait s’il se retrouvait à nouveau les deux pieds dans le village qui l’a vu naître. Il en était parti à vingt ans, suite à des complications familiales qui n’attendaient clairement que le bon moment pour voir le jour. Certaines familles sont comme ça : compliquées. C’est souvent davantage le cas dans les petits villages. Peut-être parce que là-bas, tout le monde se connaît. Des gens moins ouverts sur le monde, renfermés sur leur très petit univers. Le siens, situé à une heure au nord de Sapporo, est éloigné de tout. Avant ses vingt ans, Haruya a eu le temps de voir beaucoup de choses… certaines qu’il aurait préféré ignorer.
Né au sein d’une famille ultra-conservatrice de l’Ordre de la Sphère Céleste, ça a pris presque vingt ans à Haruya pour réaliser que leur branche de l’Ordre avait fortement dérivé vers quelque chose de malsain qui n’avait plus rien à voir avec les valeurs que cette ancienne institution vénérait. Neutralité ? Ça n’avait jamais été au goût du jour. Occire les vampires semblait être la seule option, dans cet Ordre-là. Avec des dérives clairement sectaires, on avait droit à un beau melting-pot de tout ce qui se fait de plus malsain. Haruya n’a jamais complètement adhéré à ces pratiques douteuses. Mais comme le bon petit héritier Rosenbach qu’il était, et surtout un enfant sous la coupe des adultes, il se pliait aux entraînements et aux leçons prodigués par les responsables de l’Ordre.
Descendant d’une noble lignée japonaise du côté de sa mère et d’une encore plus noble lignée allemande du côté de son père métis, Haruya ne s’est jamais vraiment posé de question quant à ce qu’il devait devenir. Son sang l’avait décidé pour lui. Son grand-père Rosenbach s’occupait personnellement de ses entraînements. Rien de tendre entre eux. Que du travail et un peu de lavage de cerveau au passage. Lequel n’a jamais vraiment fonctionné sur Haruya, qui a très vite été un esprit libre qui cherchait lui-même ses propres sources d’informations et ne trahissait pas facilement ses propres valeurs. D’ailleurs, il n’y a personne qu’il aime et protège plus que sa petite sœur, encore à ce jour. À l’époque, elle a été très importante sans le savoir puisque chaque instant où on reprochait quelque chose à Shiori en était un où Haruya remettait en question leur éducation.
Il a vingt ans et sa sœur dix-huit quand Shiori est bannie du village. Une sentence qu’Haruya ne comprend pas, même si lui-même n’avait jamais aimé les fréquentations vampiriques de sa sœur, craignant pour sa sécurité. On ne peut bannir qui on aime… Alors cette fois, il semble évident à Haruya que la vie au village n’est plus possible. Pourtant, dans un faible sursaut d’espoir, il parlementera avec son grand-père. Une conversation qui finira très mal et dont encore aujourd’hui, il ne parle à personne… pas même à sa sœur, qui ne sait toujours pas qu’il a essayé de plaider sa cause auprès de « l’ancien » du village.
Quand il débarque à Séoul, ça ne prend pas beaucoup de temps à Haruya pour comprendre qu’ils viennent de quitter une secte. Il a ses craintes alors qu’il se présente au QG de l’Ordre à Séoul, mais il réalise rapidement que les valeurs défendues par son clan n’étaient pas celles universelles à l’Ordre et cette nouvelle façon de voir les choses lui plaît. Il n’est pas neutre. Il a un caractère bien trop volcanique pour ça ! Mais il trouve sa propre alliance auprès de son chef de battue et serait prêt à le suivre dans la mort s’il le fallait. Pour une personnalité comme la sienne, ça suffit amplement. Depuis son arrivée à Séoul, Haruya est peut-être pauvre, mais il n’a jamais été plus riche, ironiquement. Riche de liberté, de connaissance… et sa petite sœur est près de lui, même si son pronostique à son sujet s’obscurcit de jour en jour…
| Aries Reboot de Matthew |
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