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Han Lawrence Vampire | Membre du Conseil des Cinq | Feat. : Kim Min Gyu (Seventeen)
Âge : 1240 ans alors que physiquement, il n'en a que 18
Statut civil : Veuf
Classe sociale : Très riche
Occupation : Il possède une grande société de culture de riz, exportée dans le monde entier. Il détient le brevet d'une nouvelle molécule du riz le rendant plus résistant, qui fait présentement sa renommée à l’international. Il garde farouchement ce secret, découvert de lui-même dans les laboratoires de son entreprise.
Taille et poids : 1m87 + 72kg
Messages : 94
RPs : 49
Pseudo : Aries
Autres comptes : Xiao Hua Feng + Ryeo Adrian + Rosenbach Haruya + Mangjeol Nam Il
| Dim 2 Fév - 23:18 Han Lawrence Nom : Han. Tout d'abord Pan, en fait, signifiant "Rivière dans laquelle le riz a été rincé". Cette rivière déborde dans le Han. Le nom a légèrement changé au fil des siècles et Lawrence a adopté sa nouvelle forme. Prénom : Lawrence. Un prénom anglophone qu'il s'est lui-même choisi à l'époque où il avait la rage au ventre. Celle qui lui hurlait de tout abandonner, même lui-même. Son prénom chinois est Xiao Ming. Il ne l'utilise plus vraiment. Même depuis son très récent retour en Asie. Âge physique : 18 ans. Âge réel : 1240 ans. Date de naissance : Un certain 14 avril, au milieu des cerisiers en fleur. Nationalité : Chinoise. Origines : Chinoises. Sexualité : Hétérosexuel. Métier : Il possède une grande société de culture de riz, exportée dans le monde entier. Il détient le brevet d'une nouvelle molécule du riz le rendant plus résistant, qui fait présentement sa renommée à l’internationale. Il garde farouchement ce secret, découvert de lui-même dans les laboratoires de son entreprise. Il est très nouvellement membre du Conseil des Cinq. Situation maritale : Veuf de très longue date. Il ne s'est jamais remarié. Classe sociale : Très riche. S'injecte de la Crysalis ? Certainement pas. Groupe : Vampires. Avatar : Kim Min Gyu (Seventeen) Participer aux mini-events ? Oui. | Caractère Lawrence est de ces hommes qui aiment être en contrôle et qui paniquent lorsque ledit contrôle leur échappe. Il déteste être mis devant le fait accompli, quelle que soit la situation. Et s’il évite de justesse une mauvaise fortune grâce à une décision reportée, il pourra très bien angoisser à ce sujet pendant des siècles entiers. D’ailleurs, bien qu’il le cache habilement, c’est un grand émotif qui a une forte tendance à la déprime et à l’anxiété. En plus de 1200 années de vie, il n’a pas encore pu s’admettre ce fait. C’est indéniablement chinois comme comportement, peut-être. Mais pendant aussi longtemps, c’est surtout incroyablement aveugle. Il est trop fier et parfois, il s’étouffe avec cette fierté qui ne lui sert à rien d’autre qu’à se voiler la face devant ce qui pose réellement problème.
Il est capable de prendre des décisions éclairées et réfléchies, mais elles ne sont pas celles qui témoignent le mieux de son vrai caractère. Emporté, Lawrence prend souvent ces mêmes décisions sur un coup de tête et il doit en subir les conséquences. Il est facile de le mettre en colère ou de provoquer chez lui une rancune qu’il trainera très longtemps avec lui. Lawrence est intelligent. Il oublie difficilement. Et il n’utilise pas toujours cette fine intelligence pour les bonnes raisons. Son énergie est débordante, mais souvent mal canalisée. Pourtant, depuis un ou deux petits siècles, il a su s’assagir, voire même se contenir pour faire des choix plus éclairés et plus sages. Il faut dire qu’une fois son côté trop spontané bâillonné, Lawrence peut être incroyablement calculateur…
Pourtant, toute cette belle fougue n’est pas que négative. Elle part même d’un assez bon fond. S’il se rebelle facilement contre l’autorité, c’est que Lawrence veut améliorer les choses. Pour les siens. Pour ceux qu’il aime. Pour toutes ces fois où il a dû se cacher comme un criminel alors qu’il n’en a jamais été un… D’ailleurs, il est imperméable aux rumeurs, trop habitué à avoir été brimé par elles et préférant de loin être au-dessus de ce genre de commérages. Du moins, c’est ce qu’il prétend… Son charisme lui a permis de se tirer d’un mauvais pas. Ou d’un millier de mauvais pas. Il l’a cultivé soigneusement au fil des siècles comme il le faisait à une époque du riz dans les rizières de la famille Pan. Il a toujours voulu lutter pour les plus démunis. Pour ceux qui sont acculés au mur sans raison. Pour les gens qu’il aime plus que tout. Ce côté justicier l’a mis plus d’une fois dans la panade et pourtant, il le porte toujours fièrement sur lui comme un blason de famille qu’on épinglerait à sa veste.
Essayer de comprendre Lawrence, c’est se perdre dans les méandres d’une personnalité aux multiples facettes que son propriétaire lui-même ne comprend pas toujours tout à fait. C’est d’être si emporté et de changer si souvent d’idée ou d’émotion pour un même sujet qui le rend si difficile à cerner. Un résultat de longues années de blessures apportées par des expériences pas toujours plaisantes dans lesquelles il s’est vautré comme s’il n’avait aucune autre option, tenant à défendre bec et ongles ce qu’il croyait être juste. Il s’ennuie d’un passé qui n’a jamais existé tout à fait. Du moins pas comme il s’en rappelle très exactement et c’est parfois là le problème avec Lawrence. Il aimait ce « avant » qu’il idéalise et il veut ce après qu’il idéalise encore plus. Mais le présent ne semble jamais avoir de goût pour lui et la tristesse s’empare facilement de lui. Ne voulant y céder, elle se transforme en colère.
Pourtant, il aime les gens et il évolue incroyablement bien en société. Il sait se faire aimer. Sait se faire pardonner. Sait charmer et séduire. Il en fait un jeu, généralement sans trop abuser non plus, mais en profitant clairement. Il aime être beau, être sexy même. Éhonté, il exhibe sa masculinité soigneusement cultivée et se plaît à sentir les regards se poser sur lui. Il fait oublier l’âge qu’il semble avoir et rappelle celui qu’il a réellement. Expérimenté, amoureux des plaisirs de la chair… | Anecdotes un. Il est très masculin, voire indécemment sexy. C'est une façon pour lui de faire oublier l'âge auquel il a été mordu et qui se lira sur ses traits jusqu'à la fin de ses jours. Il déteste se faire dire qu'il a l'air jeune ou se faire traiter comme un gosse...
deux. Lawrence aime le goût de l'alcool, qu'il consomme autant qu'il le peut sans s'en rendre complètement malade. Il n'est pas rare de le voir un verre de bon alcool de riz à la main. Il regrette plus que tout de ne plus ressentir l'ivresse qui vient avec la consommation d'un tel breuvage.
trois. Il possède un coffre en bois au pied de son lit comme ceux dans lesquels on rangeait les vêtements à l'époque. Il contient plusieurs souvenirs, les seules choses qui l'ont suivies toute sa vie, tout comme le coffre en question. Et dans son double-fond secret, toutes les lettres qu'il n'a jamais eu le courage d'envoyer à Yuan.
quatre. Si Lawrence n'aime pas les chasseurs, il déteste encore plus l'Ordre. C'est épidermique : dès qu'il voit leur symbole stupide au cou d'un de ces abrutis, il a envie de le lui enfoncer dans le gosier pour qu'il s'étouffe avec. Ils ont anéanti ce à quoi il aurait dû appartenir et il ne le leur pardonnera jamais.
cinq. Même s'il donne souvent l'impression d'être irréfléchit et immature, il n'en est rien. Certes, il est emporté. C'est indéniable. Mais Lawrence est un homme maintenant, plus un enfant. Il manie l'art du verbe avec doigté et ferait un excellent homme politique ou tacticien. Quand il est au bureau du quartier général de sa compagnie, il est implacable. Et quand il entre dans les laboratoires, on respecte ce qu'il est capable d'y faire. Parce qu'au-delà du dirigeant qu'il est indéniablement, il est aussi un scientifique.
six. Il est attaché à son apparence physique et est plutôt coquet. Il porte de très beaux costumes sur mesure lorsqu'il travail et en dehors du travail, il s'amuse à expérimenté des looks aux couleurs toujours sombres et souvent inspirés d'époque révolues, sans trop en faire et en y ajoutant une petite touche moderne. Ses cheveux sont généralement noirs, mais il lui arrive de les teindre en blond ou en brun pour son simple bon plaisir.
sept. Si vous voulez le voir insulté, dites-lui qu'il ressemble à Fan Yuan. Mais ce n'est qu'une façade. Il enorgueillera de ce compliment, mais sa damnée fierté prendra le dessus et il le refusera obstinément.
huit. Il aimait sincèrement sa femme, mais il n'est pas de ces vampires qui pleurent encore un amour perdu à jamais. Il pourra en être triste lorsque l'anniversaire de sa vampirisation arrive puisqu'il l'a perdue cette journée, mais il ne se berce pas de fausses illusions.
neuf. Il ne ressent pas le besoin d'être père vampirique et en a même peur. Mais il mène une vie solitaire. Il est certes toujours entouré. Mais lorsque les masques tombent, il est toujours seul pour gérer son vrai visage. Il aimerait fonder quelque chose, mais un lien invisible lui noue les poignets et le coeur. | Histoire I've been living for so long Many seasons have passed me by I've seen kingdoms trough ages Rise and fall, I've seen it all
I've seen the horror, I've seen the wonders Happening just in front of my eyes Will I ever, will I never free myself by making it right? Lorsque Xiao Ming est venu au monde, ce n’était pas dans ce monde. Les saisons qu’il a vu passer depuis ont changé quelque chose de fondamental dans l’ordre des choses. Son humanité, il s’en souvient à peine. Lorsqu’il ferme les yeux, sous un vent chaud d’une nuit estivale, il peut presque se rappeler du baiser du soleil sur son épiderme caramel. Il travaillait inlassablement aux champs. Ou plutôt, dans les rizières qui permettaient à sa famille de subvenir à ses besoins. À peine. Ils étaient pauvres, très pauvres. Mais ils étaient heureux, ironiquement. Si vous cherchez une histoire de garçon pauvre n’ayant que le désir de devenir riche, vous ne la trouverez pas ici. Ils s’aimaient, même si les mœurs étaient différentes et qu’on n’aimait pas de la même façon à cette époque que maintenant. Lorsqu’il se prend à être nostalgique, le Lawrence de maintenant idéalise cette vie. Mais la vérité, c’est qu’il se couchait souvent affamé et blessé par le dur labeur. La vérité, c’était la faim et les guerres incessantes entre ces seigneurs pour qui la misère du peuple ne représentait rien de plus qu’un dommage collatéral. Un jour, il fallut bien que la guerre frappe à leur porte, eux, paysans d’une campagne peu visitée par les soldats. Ce jour-là, ils ne visitèrent pas et ils ne firent même pas la guerre. Ils mirent à sac pour piller. Prendre à des gens qui n’avaient rien. Lorsqu’on est simple paysan, on ne sait même plus dans quel camp les soldats sont. Ou on essaie d’oublier que les couleurs qu’ils portent sont celles du Seigneur de ces terres qu’il avait promis protéger. On prend les armes : faux, fourches, torches… et on essaie de défendre ce qui est nôtre. Cet après-midi fatal, c’est ce que Xiao Ming avait fait. Il avait pris une fourche et l’avait vaillamment brandie sous le nez de soldats qui comptaient prendre riz et femmes. Il n’avait pas froid aux yeux, mais la peur au ventre. Les hurlements d’effroi de sa femme, de sa mère et de sa petite sœur suffisaient à pousser son père, son beau-frère et lui au-devant du danger. La fin de cet après-midi eu le goût de sang. Sa couleur, aussi, alors que le soleil se couchait sur l’horizon et qu’il perdait doucement l’ouïe, mais pas la vue. Peut-être pour le mieux, vu les horreurs qui se dessinaient en fond sonore de sa mort lente et douloureuse. Quand le soleil se couche, que l’herbe sous lui devient aussi froid que son épiderme las, les pas qui approchent il ne les entend pas. Il voit par contre des bottes. Relève péniblement les yeux jusqu’à un beau visage jeune dont les yeux lui renvoient déjà trop d’années de vie. En ce début de nuit, Xiao Ming supplie pour sa vie. Une vie qu’il veut utiliser pour sauver celle de ceux qui sont morts autour de lui sans qu’il le sache. Seulement une partie de son vœu sera exaucé par la créature de la nuit qui s’était approché des lieux du carnage. La rage qui l’anime aura été bénéfique à cette époque. La soif du nouveau-né est rapidement étouffée par le désir de vengeance. Le choc de la transformation ? Annihilé par la colère grondant au fond de son être. Devenir guerrier à son tour lui semble couler de soi. Intégrer le groupe de mercenaires dont fait partie son père vampirique, une évidence. Il n’est peut-être pas le meilleur soldat. Trop fougueux, se laissant trop facilement aveuglé par les émotions et pas assez patient pour peaufiner sa technique. Mais le cœur qu’il y met est tout simplement phénoménal. C’est ainsi qu’il devient trop impliqué. Tout ce qui le sauvera lorsque le groupe se scindera entre ceux qui cherchent la domination et ceux qui la refusent, c’est la fidélité qu’on croit à tort qu’il ne voue pas à Fan Yuan. C’est elle qui le fit hésiter… et qui finalement lui permettra d’avoir la vie sauve lorsque les vampires belliqueux sont rapidement occis par l’Ordre de la Sphère Céleste. De cette histoire, il garde une profonde rancune pour l’Ordre et une peur irrationnelle de donner la vie en passant d’abord par la mort, raison pour laquelle en 1200 ans, il ne s’y est jamais adonné. C’est un moment de sa vie qu’il ignore encore aujourd’hui avec un aveuglement étonnant. Rien qu’y penser le plonge dans une détresse qu’il n’est pas prêt à assumer. Il n’a jamais fait la paix avec ce passé tumultueux. Ce passé « tellement mieux », sans reconnaître encore que même à l’époque, les moyens employés par ceux qui voulaient que les vampires dominent le monde le répugnaient… Il y a trois cent ans, encore Xiao Ming à cette époque, il se raccroche désespérément à ce qui est, à ses yeux, toute sa vie. La seule chose pour laquelle il éprouve un attachement et pour laquelle il est doué. Ce désespoir se transformera encore une fois en haine et en rage alors que ses deux derniers compères décident qu’il est temps d’abandonner le château de cartes qu’ils ont mis tant de temps à bâtir et qui s’écroule finalement d’un simple souffle. Un dernier souffle, celui de leur unité qui se meurt. Il part. Sa décision est immédiate. La nuit suivante, il a disparu. Plus de Pan Xiao Ming. Il quitte la Chine pour voyager vers l’Europe. Il s’établira en Angleterre après un long voyage qui le conduira au milieu de contrées jusqu’alors jamais soupçonnée par le petit Chinois qu’il est. Et il en ressortira Fan Lawrence. L’Ordre est partout. Lawrence doit trouver quelque chose dans quoi canaliser sa rage et sa honte. Le rejet qu’il ressent et la tristesse qui le scie de l’intérieur. Le riz. Lorsque l’idée lui vient, elle lui tombe dessus tout à coup et pourtant, ça semble tellement évident… Il travaille d’arrache-pied. D’abord pour monter le projet. La compagnie. Retourner en Chine ponctuellement malgré les plaies encore ouvertes et trouver les meilleures rizières. Le monde a changé. Le monde qu’il a connu n’est plus. Mais le riz, lui, est étrangement immuable. Ces trois derniers siècles ont été mouvementés, mais ont aussi permis à Lawrence de se recentrer un peu. Il étudie les sciences, la chimie tout particulièrement. Pas juste un peu. Il se plonge corps et âme dans ce nouveau projet, désireux dans un premier temps d’être sur tous les fronts. Puis, lorsqu’il découvre une nouvelle molécule qui le hisse au sommet de l’industrie, il apprend à déléguer. C’est au milieu de ce succès qu’il gère le dévoilement d’un secret qui n’aurait jamais dû être et il est de ces vampires qui embrassent très vite la révélation, forçant les humains à accepter ce monde qui change une nouvelle fois ou à mourir en essayant de le combattre. La Corée est un superbe marché. La Corée pourrait n’être que ça : un marché. Mais la Corée, c’est aussi là où il a entendu pour la dernière fois le nom de Fan Yuan, alors qu’il assistait à un rendez-vous d’affaires à Séoul. La première fois, il fuit le pays, la peur au ventre. Puis, il revient. Encore. Et encore. Et maintenant, il est à Séoul depuis trois mois. Pan Xiao Ming fait profil bas alors que Han Lawrence ouvre les Laboratoires Han qui contiennent entre autre le quartier général de Han Fan. Les riz Han… Ironique, cette langue qu’est le chinois… Jillian, our dream ended long ago All our stories and all our glory I held so dear We won't be together For ever and ever, no more tears I'll always be here 'til the end | Aries Je suis la faiblesse incarnée |
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| | Dim 2 Fév - 23:26 Ah ! Tu es là ! Justement, on te cherchait. J'espère pour toi que tu n'as pas fait de bêtises pendant tout ce temps. Il est temps de rentrer à la maison chaton. Viens me faire un câlin ! Rebienvenue chez toi ! | | | | |
Han Lawrence Vampire | Membre du Conseil des Cinq | Feat. : Kim Min Gyu (Seventeen)
Âge : 1240 ans alors que physiquement, il n'en a que 18
Statut civil : Veuf
Classe sociale : Très riche
Occupation : Il possède une grande société de culture de riz, exportée dans le monde entier. Il détient le brevet d'une nouvelle molécule du riz le rendant plus résistant, qui fait présentement sa renommée à l’international. Il garde farouchement ce secret, découvert de lui-même dans les laboratoires de son entreprise.
Taille et poids : 1m87 + 72kg
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RPs : 49
Pseudo : Aries
Autres comptes : Xiao Hua Feng + Ryeo Adrian + Rosenbach Haruya + Mangjeol Nam Il
| Dim 2 Fév - 23:36 Moi ? Mais je fais jamais de bêtises voyons Vous n'allez plus vous ennuyer maintenant que je viens pimenter votre duo | | | | |
Fan Yuan Vampire | Membre du Conseil des Cinq | Feat. : Huang Zitao
Âge : 1800 ans quoi que 31 de son vivant
Statut civil : Célibataire
Classe sociale : Très riche
Occupation : Membre du Conseil des Cinq et propriétaire de la Lanterne Bleue
Taille et poids : 1m85 pour 64kgs.
Messages : 745
RPs : 61
Pseudo : MyPandaa
Autres comptes : Jang Ahn Jae, Fan Evelyn, Zhao Ming Yue & Lee Min Ki
| Lun 3 Fév - 8:48 Félicitation ! Tu es validé ! |
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