Feat. : Kim Nam Joon (RM - BTS)
Âge : 31 ans... ou plutôt, approximativement huit siècles
Statut civil : Célibataire
Classe sociale : Très riche
Occupation : À la tête d'un important réseau de drogue à Séoul
Taille et poids : 1m81 + 67 kg
Messages : 7
RPs : 3
Pseudo : Aries
Autres comptes : Xiao Hua Feng + Han Lawrence + Ryeo Adrian + Rosenbach Haruya
| Sam 5 Sep - 23:46 Mangjeol Nam Il Nom : Mangjeol. Il est le dernier Mangjeol à fouler cette terre et il n'y en aura plus aucun, vu sa condition. Il faut préciser que Mangjeol est son véritable nom de famille. Il en a utilisé un nom incroyable au fil des siècles. C'est toutefois la première fois de toute sa vie vampirique qu'il l'utilise. Prénom : Nam Il. Encore une fois, il s'agit de son véritable prénom, mais c'est la première fois qu'il l'utilise depuis qu'il est devenu vampire. Âge physique : 31 ans. L'âge parfait pour la vampirisation, à son avis. Âge réel : Il a plus ou moins huit siècles. Date de naissance : C'était au printemps, probablement en mai, mais rien n'est moins sûr. Nationalité : Coréenne. Il est toutefois devenu Japonais et Chinois au fil des siècles... et de ses mensonges. Origines : Coréennes. Sexualité : Pansexuel. Métier : Il gère un important réseau de drogue à Séoul. Situation maritale : Il a été marié une fois. Aimé une seule fois, aussi. La même personne. Il pourrait être veuf... mais ça remonte à plus de quatre siècles, alors il se considère célibataire. Classe sociale : Riche, très riche. S'injecte de la Crysalis ? Certainement pas ! Groupe : Vampires. Avatar : Kim Nam Joon (RM - BTS)Scénario, prélien ou inventé ? Non. Participer aux mini-events ? Oui ! | Caractère La personnalité de Nam Il tourne autour de trois concepts pour le moins… intéressants. Le charisme, la manipulation et le manque d’empathie. Des concepts qui donnent à sa personnalité plusieurs dimensions auxquelles la plupart des gens n’accordent pas assez d’importance pour en comprendre la profondeur… et qui s’y perdent trop facilement.
Nam Il porte beaucoup de masques. Il n’y a qu’un vrai « lui », mais il ne le montre que très peu, surtout depuis que la période moderne a calmé de force son côté grand conquérant. Il est normal qu’il vous apparaisse gentiment abruti, un peu trop maladroit et tête en l’air. Il aura quelques rires idiots en votre présence. Plusieurs sourires sympathiques. Sera blagueur, léger et sociable. Il semblera empathique. Manifestera beaucoup d’intérêt pour ce que vous avez à dire, ce qui flatte souvent les gens. De belles qualités, qui font parfois lever un peu les yeux au ciel et qui poussent les gens à baisser leurs gardes. S’il se comporte ainsi avec vous, c’est que vous êtes une cible et il vous prend probablement pour un idiot. Pourtant, inutile de manquer d’intelligence pour se faire prendre à ce genre de jeu d’acteur qui ne se trahit que très rarement lui-même…
Le vrai Nam Il est plus sombre. Si les vampires sont les prédateurs parfait, Nam Il se hisse parmi les plus grands puisque humain, il possédait déjà ce trait particuliers et dangereux. Il aime chasser, que ce soit sérieusement pour éliminer un ennemi, ou pour gagner un cœur à glisser entre ses draps. Son charisme est écrasant et il l’utilise à volonté, de façon toute étudiée. Il n’est pas spontané, plutôt calculateur. Sa patience semble parfois être à toute épreuve. Ça en prend pour se faire passer pour l’idiot du village… même s’il ressent de moins en moins le besoin de se cacher derrière une image aussi intensément opposée à ce qu’il est vraiment. Maître manipulateur et menteur invétéré, il y est doué parce qu’il ne ressent pas de regrets, de honte ou de scrupules à le faire, tout simplement.
D’ailleurs, Nam Il s’attache difficilement. Pour autant, ce n’est pas impossible. Il n’est pas toujours exclusif en amour, mais c’est généralement d’un commun accord, comme avec Nôhime à une époque. Ces dernières dizaines d’années, néanmoins, Nam Il s’est découvert un penchant très possessif, exacerbé par la modernité qui a pris le pas sur une partie de sa personnalité. Dominateur, il aime jouer au chat et à la souris, tant que le rôle du chat est clairement le siens. Si ce n’est pas le cas, il écrasera pour mieux régner. Conquérant dans l’âme, il désire souvent plus que ce qu’il a, non pas par péché d’envie, mais par ambition et par besoin d’avoir un but à atteindre. Il philosophe encore assez souvent et aime trouver des pairs qui maîtrisent bien le verbe.
Nam Il aime être un vampire, même s’il a pris beaucoup de temps pour accepter sa nouvelle condition et qu’il s’est longtemps comporté comme un humain avec des buts humains. Tous ses efforts sont maintenant tournés vers les vampires, même s’il agit prudemment et discrètement. Son récent retour en Corée a de bon qu’il n’est encore sur les radars de personne et il en profite allègrement, même s’il compte bientôt sortir de sa zone de confort pour mieux analyser le terrain…
| Anecdotes un. Mangjeol est le « vrai » nom de famille de Nam Il. Mais c’est un peu plus complexe que ça, en vrai. Il s’agit du nom de famille de ses descendants, lorsque les noms de famille se sont démocratisés en Corée. L’ironie, c’est que ce nom précisément s’est développé au Japon, où les descendants de ses frères et sœurs se sont retrouvés au fil des générations. Il n’en avait aucune idée avant de revenir en Corée, cherchant le nom de famille qui lui revenait de droit. D’ailleurs, il est maintenant le dernier Mangjeol…
deux. Nam Il possède une maison traditionnelle dans le quartier historique de la ville. Elle est un peu en retrait, histoire de bénéficier d'un grand terrain converti en jardin luxurieux. Même si tout à l'intérieur est très traditionnel, la technologie y est aussi très moderne, simplement cachée avec un design en accord avec le temps qu'il regrette le plus. L'extérieur tient plutôt de la maison coréenne traditionnelle, mais le jardin et l'intérieur prouvent bien la complexité de ses origines et sont pour leur part d'inspiration japonaise.
trois. Une des pièces de sa maison, le petit salon, a été reconverti en grande bibliothèques. Des étagères pleines de livres courent sur les quatre murs. En son centre trône un grand bureau en bois de cerisier massif qu'il utilise pour la comptabilité et l'administration de son business. Il adore cette pièce et c'est généralement là qu'on le retrouve en journée.
quatre. Nam Il ne se fâche que rarement, mais quand on le pousse à bout, ses colères sont terrifiantes. Froides, mais terrifiantes. Il ne se prive d'ailleurs pas pour faire éclater un bibelot contre le mur ou menacer physiquement lorsqu'il est dans cet état...
cinq. Il a souvent les cheveux blond cendré, une préférence qui date de très récemment, mais dont il ne semble plus pouvoir se passer. Il s'adapte à son époque... et ça en fait partie ! Il a d'ailleurs toujours pris soin de son apparence, selon les modes des époques qu'il a traversé. Ça fait partie d'un charisme bien entretenu, après tout.
six. Même si le concept de soldat a beaucoup changé au cours du dernier siècle, Nam Il continue de s'entraîner à l'art du combat, autant par passion que par précautions. Il ne croit pas que le monde tel qu'on le connait durera toujours. L'homme est fait pour faire la guerre et se déchirer... il attend juste que son heure arrive.
sept. La vie est un peu solitaire depuis un moment. Ses draps sont rarement froids, mais il ne partage sa vie avec personne et ça commence à lui manquer maintenant que son deuil de Nôhime est fait depuis longtemps. Nam Il a commencé à se chercher quelqu'un pour remplacer sa défunte femme, sans en faire trop parce qu'il se lasse de toute façon rapidement... Il faut un caractère bien spécial pour l'intéresser à long terme.
huit. Nam Il dort. Même s'il n'en a pas besoin comme lorsqu'il était humain, c'est en quelques sortes un cadeau qu'il se fait. On dit souvent que la nuit porte conseil. Il y croit fermement et a donc inclus à sa routine quelques heures de sommeil par jour pour retrouver une certaine paix d'esprit. C'est en plus de la méditation quotidienne, une habitude tirée de ses années en montagnes, dans le monastère bouddhiste.
neuf. Il déteste les chasseurs de vampires. Il n'en a que faire de leurs raisons. Mieux vaut ne pas se présentant comme tel à lui, sauf si vous êtes assez intéressant pour qu'il ait envie de jouer. Son opinion de l'Ordre de la Sphère Céleste n'est pas beaucoup plus élevé, d'ailleurs. Il les considère comme des chasseurs déguisés sous des valeurs pseudo-morales, ce qui les rend encore pire à ses yeux.
dix. Il aime la jeunesse chez ses amants. Ce qui ne veut pas dire qu'il se plaît à toucher ceux qui sont encore mineurs et innocents, au contraire. Ce n'est pas très captivant pour un prédateur de chasser ce qui est une proie soumise avant même d'avoir commencé à jouer... Alors il préfère souvent les vampires, sans préférence pour le genre, puisqu'il ne le prend tout simplement pas en compte lorsqu'il est attiré par quelqu'un.
| Histoire An 1200, approximativement. La Corée, encore unifiée à cette époque, est sous le joug d’un gouvernement militaire. La famille royale est tombée et, après de nombreuses années de frustration, l’armée nomme son propre roi. Après d’âpres révoltes paysannes et de nombreux morts, la nouvelle famille royale force le calme grâce aux armes, mais aussi en affranchissant les esclaves, maigre récompense en échange d’une vie de misère. Cette vie-là, c’est celle de Nam Il. À l’époque, pas de nom de famille, juste Nam Il. Les noms sont des appartenances souveraines auxquelles les simples mortels n’ont pas droit. Déjà enfant, Nam Il affiche des traits particuliers qui poussent ses parents à le considérer d’un peu plus loin que ses frères et sœurs. Le travail aux champs n’est pas un problème. Ce sont les repas du soir en famille qui semblent toujours un peu étranges. Nam Il ne s’attache pas à sa famille de la même façon que les autres enfants.
Les démonstrations de force de l’armée sont fréquentes. Les guerres aussi. Nam Il développe rapidement un vif intérêt pour ce mode de vie que ses parents décrient en silence. Si au début du règne militaire, le bouddhisme avait été fortement attaqué par le pouvoir en place, le nouvel empereur, au contraire, le favorise. Tout est manipulation et lutte de pouvoir, mais la famille de Nam Il salue cette nouveauté, à l’aube de la première dizaine de leur fils. Alors que Nam Il désire rejoindre les rangs de l’armée lorsqu’il en aura l’âge, ses parents en profitent plutôt pour l’envoyer dans les montagnes, élèves de prêtres bouddhistes qui croient qu’on apprend la foi à la dure. Néanmoins, auprès d’eux, il a la chance de développer un charisme qui, avec l’âge, ne cessera de grandir, puis d’irradier. Il domine très rapidement l’art du koan, courte conversation entre maître et disciple tenant de l’absurde et énigmatique, mais nécessitant de maîtriser le verbe.
Quinze ans. Un homme déjà, mais un moine surtout. Une vie que Nam Il n’avait pas choisie, mais qui, il pouvait déjà le reconnaître, lui avait amené beaucoup. Il était néanmoins temps de retourner chez lui. Ce qu’il ne fit pas. Le jeune homme, déjà décidé à cet âge, prend plutôt le chemin de la guerre. Il intégrera les armées de la Corée alors qu’il est à peine capable de soulever une épée à deux mains. Lorsqu’il se retrouvera à la cour royale, quatre ans plus tard, il sera un des plus redoutables jeunes soldats de la garde du roi. Mais Nam Il est né pour de grandes choses. La chute de la dynastie Jin en 1234 est dû à la fomentation d’un coup d’état orchestré habilement par le soldat devenu général d’armée. La conquête mongole a bon dos, à cette époque…
Si cette trahison est souvent oubliée dans les recueils d’histoire, c’est qu’elle est inexplicable. Un homme ne peut comprendre qu’on mette autant d’énergie dans une telle machination pour n’en tirer rien de plus que la satisfaction d’avoir vu son expérience réussir. Pourtant, il s’agit exactement de ce dont il s’agissait : une expérience. Nam Il constate ce dont il est capable, alors qu’il s’en doutait depuis longtemps. Maintenant, il lui suffit d’utiliser encore une fois la conquête mongole à son avantage pour mieux servir ses desseins. Mais avant que ceux-ci ne se soient précisés, il tombe sur plus puissant que lui : une jeune femme délicieuse, débarquée tout droit du Japon, ce voisin si mystérieux et fermé. Kichô charme, envoûte même. Et plonge finalement ses crocs dans la jugulaire du général Coréen, encore inconscient de la chance qui vient de lui être offerte. Un nouveau nom s’impose. Le premier d’une longue, très longue suite…
L’apprentissage de la vie vampirique prendra près de cent ans à Nam Il. Une centaine d’années qu’il passe à nouveau dans les montagnes, d’abord coréennes, puis japonaises. Une centaine d’années qui le voit frustré du temps perdu et du déclin de ses capacités et de son contrôle. Jusqu’à ce que déclin devienne progrès et que la tromperie de Kichô commence à prendre des saveurs plus agréables. Nam Il met peut-être beaucoup de temps à comprendre ce qui est maintenant siens : le pouvoir absolu. Mais quand il le comprend, il accepte plus aisément de composer avec la nécessité de s’abreuver de sang et de rester loin du soleil. Les subterfuges ne manquent pas chez le couple pour vivre une vie normale sans se faire coincer dans leurs mensonges… et finalement, ils partent pour les zones habitées du Japon au milieu des années 1300, prêts à tirer le meilleur de leur alliance.
Mais ils se ressemblent… et rapidement, la vie éternelle à elle seule n’est plus suffisante. Servir discrètement dans l’armée n’est pas une option à long terme pour un Nam Il dévoré par l’envie de la conquête. Une envie fortement éprouvée par les guerres de grands conquérants qui font rage dans tout le pays. Au milieu des années 1500, Nam Il est prêt. Il change une nouvelle fois de nom. Mais celui-ci, bien que le onzième depuis sa vampirisation quelques deux cent ans plus tôt, restera le plus important jusqu’à ce jour : Oda Nobunaga. C’est armé de ce nom et d’une détermination léthale que Nam Il s’empare du pouvoir, d’abord dans la région qui a vu naître sa douce femme, Mino. D’ailleurs, maintenant Nôhime, Kichô est constamment aux côtés de son mari, même sur le champ de bataille. Le charisme de Nam Il et le charme de Nôhime sont à eux deux un atout remarquable pour rassembler les troupes, créer une armée redoutable et marcher sur Mino. Mais ce n’est que le début…
Comme la légende le veut, Oda est le premier unificateur du Japon. Une conquête qui a pour but non pas le Japon, mais l’Asie toute entière, et que Nam Il était prêt à entamer dès le dernier bastion japonais gagné par la force. Mais on ne devient pas puissant sans mettre sa confiance en une poignée d’hommes. Et quand un seul de ceux-là trahit, le coup peut parfois être dur. C’est ce qui se produit à la fin du XIVe siècle, lorsque Hashiba, un de ses plus grands généraux, demande des renforts dont il n’avait pas besoin à Nam Il, qui se retrouve, pendant cet échange, enfermé dans le château d’Honnoji en proie aux flammes. Ces flammes qui verront Nôhime périr… Encore aujourd’hui, la trahison d’Hashiba demeure incertaine. Mais Nam Il n’en doute pas, peut-être par rancune mal placée. Ou parce qu’il sait sans avoir besoin de preuves…
Meurtri, s’en étant tiré de justesse et Oda Nobunaga ayant officiellement péri dans les flammes, Nam Il se sauve en Chine, où une nouvelle vie doit être entamée. À nouveau en bas de l’échelle, frustré et peut-être un peu perdu en n’ayant pas Nôhime à ses côtés pour la toute première fois depuis qu’il est vampire, Nam Il prend cette fois le nom de Ming Hao. Nouvelle première fois : il n’est pas certain de vouloir rejoindre une armée, cette fois. Il lorgne du côté d’une milice vampirique qui fait la pluie et le beau temps dans ce vaste pays, mais décide finalement de ne pas s’en approcher de trop près, sentant que ça ne lui apporterait que des ennuis. Mais la vie est longue lorsqu’on n’a pas de projets plus grands que nature. Nam Il a des qualités de conquérant, indéniablement. Et il a besoin de les utiliser pour se sentir bien…
Alors il s’en remet au commerce plus personnel de l’opium à la veille du XVIIIe siècle. Le bannissement de la substance ne l’affecte guère lorsqu’il est déclaré par l’empereur de l’époque et son commerce fleurit rapidement. De grand général de guerre, Nam Il – ou Ming Hao – devient un riche commerçant qui se repaît du malheur des autres. Pas que ce soit littéralement le cas. Il ne possède tout simplement pas d’empathie, une tendance qu’il a depuis sa naissance… la première. Il n’y a que les guerres mondiales pour exciter assez son côté conquérant qu’il en laisse périodiquement son commerce aux mains d’un homme fidèle qu’il fait néanmoins surveiller de près, n’ayant guère envie de rejouer au jeu de la confiance. Un homme qu’il avait charmé, séduit et qu’il tient grâce à son charisme et quelques jeux intimes.
Son absence est longue à chacune de ces guerres. Allez savoir ce qu’il fait de ces pèlerinages sanglants en Europe… mais il en tire de toute évidence le meilleur puisqu’à chaque fois, il revient de bonne humeur, peu importe la façon dont ces guerres se terminent. Si on le remarque sur quelques photos d’époques et qu’on fait le lien avec quelques peintures encore plus vieilles, des ressemblances étranges que les historiens ne soulèvent pas mais que les théoriciens du complot aiment bien comparer, on le surnommera le Arès d’Asie. Un surnom amusant qu’il n’adoptera jamais officiellement de par son côté un peu surjoué, mais qu’il ne déteste pas et qui flatte son orgueil.
Ce dernier siècle fut donc intéressant, faute d’un meilleur terme. Les grandes guerres, la révélation vampirique, la réunification de la Corée qui lui a échappé alors qu’il commençait à s’intéresser à cette possibilité… S’il s’ennuiera toujours des grandes guerres japonaises, il n’en reste pas moins que Nam Il a de quoi s’occuper. Son envie de venir s’installer en Corée tient du fait qu’après la dernière grande guerre, il a eu le temps de s’ennuyer et de réaliser qu’il pensait encore comme un humain dans certains aspects de sa vie. La façon dont les vampires sont traités en Corée est indéniablement un moteur à ses envies de conquêtes, encore une fois… et maintenant, ce n’est plus en tant qu’homme qu’il veut conquérir, mais en tant que vampire. Il est temps, selon Nam Il, que leur place de plus grand prédateur soit respectée…
Il continue de jouer habilement de son commerce, bien que l’opium ne soit plus au goût du jour depuis longtemps. Pourtant, il vient d’ouvrir un salon de consommation qui se concentre surtout sur cette drogue, qui revient doucement à la mode. Sûrement parce que les hommes s’ennuient dans ce monde moderne terne et sans saveur, millimétré par une tonne de règles qui leur retire toute liberté. Mais il touche un peu à tout et se plaît tout particulièrement à se tenir à jour sur la meilleure marchandise disponible. Quand bien même son commerce est secondaire, après ses envies de conquête, cet Arès nouveau genre s’est fait un mode de vie agréable grâce à ça et ne compte pas lâcher de sitôt, même pour ce qui pourrait être la plus grande guerre de toute sa vie…
| Aries Je devais arrêter à cinq personnages, mais il me fallait vraiment mon vilain vampire, alors voilà le dernier |
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